En 2021, est-ce encore d’actualité de parler de féminisme ? La réponse est très clairement : OUI ! Droit de vote, vie professionnelle, autonomie, sexualité… chaque décennie entraine de nouveaux combats contre des inégalités et les stéréotypes qui – malheureusement – perdurent dans la vie de tous les jours.
A la maison comme au travail, l’égalité des chances n’est pas encore acquise…
Cette année 2020 nous l’aura bien montré : les femmes sont plus vulnérables face aux effets économiques liés au Covid, et ce – inévitablement – à cause de nombreuses inégalités existantes liées notamment à nos métiers. En effet, nous constatons une sur-représentation des femmes dans des secteurs professionnels particulièrement touchés par la crise. ☹
Mais d’où vient cette sur-représentation ?
Malheureusement, la réponse me semble simple : elle vient des stéréotypes liés aux soi-disant capacités des filles ou des garçons qui dictent leur comportement depuis l’éducation… Les filles sont douces, posées, empathiques et dirigées vers des métiers dans le secteur des services, du social, du culturel. Les garçons quant à eux sont forts, plus audacieux, plus doués pour la technologie et trouveront ainsi leur place dans des professions plus scientifiques ou techniques.
Comment y remédier ?
Donnons à nos enfants une éducation neutre ! Ne laissons pas les stéréotypes guider leur apprentissage. Encourageons nos filles à sauter aussi haut que les garçons, à courir aussi vite qu’eux et à réaliser les mêmes rêves. Pilote de course, astronaute ou ingénieure électricienne 😉
Enovos s’engage au quotidien pour défendre ces valeurs d’égalité et promouvoir des carrières professionnelles variées pour toutes et tous, sans biais et sans stéréotypes.
Et parce que chez Enovos, nous sommes féministes, il nous a paru évident de donner la parole à Fatima Rougi, une féministe pleine d’énergie qui, elle aussi, se bat contre les inégalités avec ténacité !
Découvrez cette femme dynamique grâce à laquelle aujourd’hui, les produits hygiéniques ne sont plus considérés comme des produits « de luxe » et ainsi désormais (enfin !) taxés comme produits de première nécessité !